Vous m’excuserez l’analogie de Charles de Gaulle, mais à mon tour de proclamer la richesse québécoise. Sur 1000 mots, le mois de juin sera dédié à la littérature québécoise parce qu’on en est fier. Je suis la première à avouer que je n’en lis pas suffisamment à mon goût. Alors voici des recommandations qui me semblent intéressantes. J’inclus également mes choix personnels qui figurent sur ma PAL et dont j’espère faire la lecture au cours des mois à venir.
D’ailleurs, joyeux mois de la Fierté 🩷❤️🧡💛💚🩵💙💜🖤🩶🤍🤎
Ces dernières semaines ont été pour moi une occasion de me dissocier un peu des réseaux sociaux. En supprimant Tiktok et en diminuant ma consommation de contenu basé sur la consommation et le fast fashion littéraire, une belle chose s’est produite. Le goût pour la littérature québécoise m’est venu naturellement. Sans dire qu’elle ne m’a jamais intéressée, j’ai réalisé que je la délaisse facilement devant la machine gigantesque qu’est la littérature américaine, ou du moins américanisée. Juin devient le moment idéal pour retourner à mes souches et profiter de la richesse de notre culture littéraire québécoise.
Les livres sur mon radar incluent entre autres ceux-ci (liste non-exhaustive, bien évidemment) :
- Lockdown – Guillaume Bourque
- Ru – Kim Thúy
- Ma vie en trois actes – Janette Bertrand
- Frappabord – Mireille Gagné
- Des fleurs comme moi : poésie – Xavier Gould
- Bonheur d’occasion – Gabrielle Roy
- Le marché aux fleurs coupées – Sarah-Louise Pelletier-Morin
- Hotline – Dimitri Nasrallah
- Ce jour-là : parce qu’elles étaient des femmes – Josée Boileau
- Un dimanche à la piscine à Kigali – Gil Courtemanche
Certains de ces livres sont entièrement nébuleux pour moi, je ne connais pas vraiment les auteurs, mais le synopsis pique ma curiosité. Pour d’autres, ce sont vraiment des livres prioritaires pour moi.
Parmi les (malheureusement) peu de livres québécois que j’ai lu, en voici trois que j’aime bien.



Restez à l’affût pour davantage de contenu sur la littérature québécoise au cours du mois de juin!